Infos

Selon une nouvelle étude de Capterra, les entreprises canadiennes misent sur des outils de gestion de projet alimentés par l’IA dans un contexte d’incertitude macroéconomique

Confrontées à des ressources limitées, la plupart des entreprises canadiennes investissent davantage dans des logiciels de gestion de projet pour libérer des fonctionnalités avancées favorisant l’efficacité



TORONTO--(BUSINESS WIRE)--Malgré les contraintes budgétaires, la plupart des entreprises canadiennes dépensent davantage en logiciels de gestion de projet pour ajouter de nouvelles fonctionnalités comme des capacités de l’IA. L'enquête de Capterra de 2025 sur les tendances des logiciels de gestion de projet auprès de plus de 2 500 chefs de projet dans le monde, dont 227 répondants au Canada, indique que pour 57 % des chefs de projet canadiens, l'IA a déclenché l'achat d'un nouveau logiciel de gestion de projet l'année dernière.

« Aujourd'hui, les logiciels de gestion de projet font partie des outils les plus utilisés en milieu professionnel. Il est donc logique que les avancées de ces plateformes puissent avoir un impact significatif sur les employés canadiens », explique David Jani, analyste principal chez Capterra. « Face à la complexité croissante des projets et des équipes toujours poussées à en faire plus avec moins de ressources, les outils d'IA contribuent à gérer les charges de travail, à compenser les effectifs limités et à maintenir les projets sur les rails. »

Les capacités de l'IA entraînent une augmentation des dépenses en logiciels de gestion de projet, supérieure à la hausse des coûts

Plus de la moitié (53 %) des répondants canadiens augmentent leurs investissements en logiciels de gestion de projet cette année. Un quart d'entre eux affirment que l'ajout de fonctionnalités est la principale raison de cette augmentation, un chiffre légèrement supérieur à ceux qui attribuent leur augmentation des dépenses à la hausse des coûts (23 %). Les gestionnaires de projet canadiens pensent que l'IA sera particulièrement bénéfique pour l'automatisation des tâches, l'analyse prédictive et la fourniture d'informations au cours des 12 prochains mois.

Cette tendance chez les gestionnaires de projets canadiens est particulièrement intéressante compte tenu de la conjoncture macroéconomique actuelle, exacerbée par l'incertitude liée aux tarifs douaniers américains. Plus de la moitié (51 %) des gestionnaires de projets canadiens affirment que les contraintes budgétaires constitueront un défi majeur au cours des 12 prochains mois, un pourcentage supérieur à la moyenne mondiale de 37 % et à celle de tous les autres pays sondés. Les entreprises canadiennes misent sur l'IA pour les aider à produire plus avec moins de personnel, avec des budgets plus serrés et des délais plus courts.

La sécurité des logiciels est une priorité pour les chefs de projet

Les logiciels de gestion de projets et les outils de collaboration stockent des données d'entreprise sensibles, comme les budgets, les contrats, les grilles tarifaires et les livrables clients, faisant d'eux des cibles lucratives pour les cybercriminels. L'augmentation des capacités de l'IA s'accompagne d'une hausse des enjeux en matière de réduction des risques de sécurité. En effet, 40 % des répondants canadiens affirment que les préoccupations en matière de sécurité ont motivé leur dernier achat de logiciel de gestion de projets. 67 % d'entre eux considèrent la sécurité comme une caractéristique essentielle lors de l'évaluation de ces logiciels. Les chefs de projet doivent trouver le juste équilibre entre exigences de sécurité et simplicité d'utilisation.

Les défis liés à l'adoption de l'IA freinent le RSI des logiciels de gestion de projet

Il est facile d'investir dans des outils d'IA, mais exploiter pleinement leur potentiel est beaucoup plus difficile. Quarante et un pour cent des chefs de projet canadiens affirment que l'adoption de l'IA constitue leur principal défi logiciel. Les fonctionnalités d'IA nécessitent une formation du personnel, des configurations d'automatisation et des adaptations des flux de travail. Cependant, 37 % des répondants canadiens signalent un manque de compétences en IA au sein de leur personnel. 42 % affirment que l'intégration de nouveaux outils aux flux de travail existants constituera un défi majeur pour les logiciels de gestion de projet au cours des 12 prochains mois, un chiffre plus élevé que dans tout autre pays sondé. Sans formation et configuration adéquates, les outils aux fonctionnalités prometteuses restent sous-utilisés.

L'essor de l'IA met en lumière l'intelligence émotionnelle

Bien que l'IA puisse simplifier la planification et automatiser les processus, elle ne peut toutefois pas résoudre les problèmes interpersonnels comme les conflits, les incohérences et les ruptures de communication, qui restent les aspects les plus complexes de la gestion de projet. Il n'est donc pas surprenant que plus de la moitié (53 %) des chefs de projet canadiens affirment avoir davantage recours à l'intelligence émotionnelle (IE) depuis l'adoption de l'IA. L'exploitation de ces compétences permet aux chefs de projet d'améliorer la collaboration entre les équipes et de consolider les relations essentielles à la réussite des projets.

Les logiciels de gestion de projet s'attachent de moins en moins à la gestion de listes de tâches mais si, par contre, à l'adaptabilité, l'efficacité et l'utilisation responsable de l'IA. Consultez le rapport complet pour plus d'informations et les recommandations d'experts pour faciliter une adoption efficace de l'IA en gestion de projet.

À propos de Capterra

Capterra est la plateforme B2B n° 1 pour les entreprises souhaitant trouver le logiciel idéal. Notre plateforme compte plus de 2 millions d'avis utilisateurs vérifiés dans plus de 1 000 catégories de logiciels, qui apportent des informations exploitables pour aider les entreprises à choisir les outils les mieux adaptés à leurs besoins.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.


Contacts

Cindy Lien
pr@capterra.ca

Bouton retour en haut de la page