Mon. Dec 23rd, 2024

 

    • Par rapport à leurs homologues européennes, les entreprises britanniques accusent un certain en retard en matière d’éducation climatique, de mise en œuvre de plans d’action climatique et d’achat de crédits carbone

 

    • Les dirigeants expérimentés en matière de développement durable comprennent l’intérêt de payer davantage (+82%) pour les crédits carbone à haute intégrité

 

    • 94% des entreprises pensent que les crédits carbone ont un impact positif sur le climat, mais que le manque de ressources financières et matérielles pour agir limite cet impact

 

    • Les deux tiers des consommateurs sont plus susceptibles de faire leurs achats auprès des marques qui utilisent des crédits carbone

 

LONDRES–(BUSINESS WIRE)–Une nouvelle enquête de la société d’action climatique Patch révèle qu’il existe un lien évident entre l’éducation climatique, les avancées des entreprises en matière de climat et la valeur accordée aux crédits carbone. Les dirigeants d’entreprise possédant des connaissances avancées en matière de développement durable voient la valeur de payer en moyenne 82% de plus pour des crédits carbone à haute intégrité que ceux qui sont nouveaux dans le secteur. Ces dirigeants informés participent également au marché du carbone de manière plus impactante, puisque 24% de ces entreprises ont acheté plus de 100 000 tonnes de crédits carbone.

« Les acteurs climatiques les mieux informés restent convaincus de l’efficacité des crédits carbone, a déclaré Brennan Spellacy, PDG et co-fondateur de Patch. Les dirigeants expérimentés en matière de développement durable, ainsi que les scientifiques qui ont rédigé le dernier rapport de l’ONU sur le climat, conviennent que, pour stabiliser la hausse de la température mondiale, il faut augmenter les efforts d’élimination et d’évitement du carbone partout dans le monde. »

L’enquête a interrogé plus de 300 décideurs de haut niveau travaillant dans le domaine du développement durable dans des entreprises comptant plus de 1 000 employés au Royaume-Uni, en France et en Allemagne. Dans l’ensemble, une tendance clé émerge : plus l’expérience climatique est approfondie et mieux on comprend les incitations financières climatiques comme les crédits carbone et plus on leur accorde de valeur s’agissant d’atteindre les objectifs climatiques mondiaux.

 

    • Les plus grands progrès en matière de mise en œuvre de plans d’action climatique ont été accomplis par les responsables allemands du développement durable, dont les stratégies d’action climatique sont en place depuis cinq ans ou plus en moyenne, tandis que la majorité de leurs homologues français et britanniques ont mis en place de tels plans depuis moins de cinq ans.

 

    • Seulement 65% des entreprises britanniques ont déclaré avoir acheté des crédits carbone, contre une proportion de 85% des entreprises allemandes.

 

    • Les entreprises britanniques ont déclaré qu’elles paieraient le prix par tonne de carbone le plus bas, 36% de moins que leurs homologues françaises et allemandes, bien que le prix soit souvent un indicateur de qualité.

 

Dans l’ensemble, la perception que les entreprises ont des crédits carbone est positive. Jusqu’à 94% de tous les responsables du développement durable interrogés pensent que les crédits carbone ont un impact positif sur le climat. Toutefois, un total de 37% des responsables du développement durable et des nouveaux venus dans le secteur déclarent que le plus grand défi à relever s’agissant de mettre en œuvre leurs plans de développement durable est l’obtention de ressources financières et matérielles.

Patch a également interrogé plus de 1 500 consommateurs dans les mêmes zones géographiques. Les deux tiers d’entre eux ont déclaré qu’ils étaient plus susceptibles de faire leurs achats auprès des marques qui utilisent des crédits carbone pour soutenir leurs stratégies climatiques. La majorité de ces consommateurs pensent également que la responsabilité d’atténuer l’impact climatique de leurs achats incombe aux entreprises.

Les consommateurs britanniques et allemands, en particulier, se disent convaincus que les entreprises prennent des mesures significatives en matière d’action climatique (75%), mais 13% seulement déclarent avoir « pleinement confiance » dans ces actions. En revanche, 27% de tous les consommateurs indiquent que leur confiance s’accroît lorsque les entreprises collaborent avec des organisations tierces pour éclairer leur action climatique. Ce déficit de confiance offre une opportunité aux entreprises de collaborer avec des organismes comme la Science Based Targets Initiative, qui aide les entreprises à éclairer et mesurer leur action climatique, ainsi que Patch, qui les accompagne dans leur stratégie de contribution volontaire aux projets d’action climatique.

Les résultats de l’enquête suggèrent qu’il existe une confiance généralisée dans les crédits carbone en tant qu’élément clé du financement de l’action climatique. Ce sentiment, qui est partagé par les consommateurs et par les entreprises, se renforce à mesure que les connaissances globales en matière de développement durable s’accroissent.

La version intégrale du rapport « Climate pioneers: Who leads on sustainability in Europe » est disponible à l’adresse : patch.io.

À propos de Patch : Patch est l’infrastructure qui soutient le marché du carbone du futur. Le logiciel Patch rassemble entreprises, développeurs de projets, financiers et décideurs politiques pour accroître la transparence et moderniser l’action climatique. Des entreprises comme Crédit Suisse, Bain & Company et Aviva utilisent Patch pour accéder au plus vaste réseau de projets d’action climatique via lequel elles peuvent effectuer des achats directs de crédit carbone, conclure des accords d’enlèvement pluriannuels et procéder à des transactions numériques grâce à une API. Patch gère activement plus de 310 millions de tonnes de carbone. Les développeurs de projets se tournent également vers Patch pour rationaliser leurs opérations et accroître leur impact. Pour contribuer à rééquilibrer la planète, visitez le site Web : patch.io.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

 

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